Depuis 1977 Marcel Czermak m’a »suivie » à sa façon , à travers les tribulations de ma vie.
Hommage lui soit rendu pour
– son génie clinique qui s’appuyait sur le travail clinique et théorique de Lacan . Ce qui lui permettait d’avoir des avancées foudroyantes .
-sa persévérance quant à la fonction de l’analyste relevant d’une différence absolue à maintenir.
-son intransigeance sur l’éthique d’un psychanalyste dans la cure et le social
-L’inconscient était pour lui le grand travailleur qui peut mener au pire si raison n’est pas gardée à la lumière de Freud et surtout de Lacan.
-pour son amitié qu’il nous offrait généreusement dès qu’ on travaillait un tant soit peu avec lui.
Merci beaucoup pour votre lecture.
Et bravo pour la remise en route de l’Ecole.
Donc l’éthique.